Zimmer

Salut ! Qui se cache sous le nom de Zimmer ?

Hello ! Dans le civil je m’appelle Baptiste, j’ai 31 ans et je vis à Paris.

Quand et comment ton projet musical est-il né ?

Lorsque j’étais adolescent, j’ai commencé à m’intéresser à la musique électronique par l’aspect DJ. Je viens de l’école du club, j’ai d’abord mixé pendant plusieurs années sous le nom de Zimmer. J’ai déménagé à Paris pour mes études et je me suis mis à la production. Ça a rapidement cliqué lorsque j’ai découvert un nouveau courant disco avec des artistes comme Todd Terje ou Aeroplane. Puis j’ai rapidement rencontré le crew Roche Musique, et ma musique a évolué pendant les années pour devenir ce que j’appelle de la Techno Disco.

Peux-tu nous parler de ton album ?

C’est un disque que j’ai voulu radical, faisant les ponts entre une musique douce, aérienne, à écouter seul, et une techno qui rassemble, plutôt destinée à faire danser. Mon envie était de faire coexister ces deux univers sur le disque, dans un voyage cohérent. Je pense que c’est à la fois un album contemplatif qu’on peut écouter seul et quelque chose de festif qu’on partage.

Quelles ont été tes inspirations pour cet album ?

Je me suis inspiré de sensations que la musique m’a donné et que je voulais retransmettre. Des moments de beauté, de grâce, la quête de l’absolu dans la musique. J’avais envie de quelque chose d’enveloppant, d’aérien, des spatial.
On retrouve les thèmes qui me sont chers et qui m’inspirent, les paysages désertiques, le spatial, une forme de surréalisme aussi. C’est des choses que j’essaie d’illustrer dans le triptyque de clips qui accompagne l’album (Landing, Mayans, Make it Happen).

Et après ?

J’avais justement envie de traduire les sensations de cet album en live. Je pars en tournée aux Etats-Unis cet hiver pour le présenter avec une installation lumineuse et scénographique qui justement me permet d’avoir un contrôle artistique total sur ce qui se passe pendant le concert.