Premier EP pour Tomasi : « Somnambule ». Des textes profonds, entre rap, trap, ainsi qu’une touche de pop et de sensibilité avec « Menteur Menteur ». On en a profité pour lui poser quelques questions. Mais avant, on écoute :
Salut Tomasi, bienvenue sur le mag ! Qui es-tu ?
Salut à vous !
Je m’appelle Tomasi, je fais une musique hybride entre rap et chanson, que j’appelle « rap fragile » On me voit souvent en peignoir !
Je suis ravi d’être avec vous.
Tu as sorti ton 1er EP « Somnambule » en septembre dernier, quelques mots à ce propos ?
Somnambule a eu 6 mois il y a pas longtemps. C’était une super expérience de faire ce disque.
J’ai eu la chance de collaborer avec Valentin Montu (Sexy sushi, Cyril mokaiesh etc…) et Benjamin Joubert (Phoenix, Ntm, Christophe, Métronomy…). Ils ont été d’un conseil inestimable !
Somnambule est une vraie introduction à mon univers notamment grâce aux 4 premiers clips réalisé par Nicolas Garrier.
Aujourd’hui nous parlons de ton nouveau clip ! Que peux-tu nous en dire ?
Somnambule est un des clips les plus intimistes de l’EP, sans doute avec le précédent « Avatoru ». On l’a tourné à 3 : Théo Leroyer qui réalisait, Leo Adrover qui l’a assisté et qui s’est occupé du montage et moi, avec une structure bizarre accroché au ventre qu’on a fabriqué en PVC pour que la caméra me suive en permanence.
C’était aussi l’occasion de clore le chapitre Somnambule en vidéo et de préparer la suite !
On a eu vent que tu avais un prochain EP en préparation !
Ahah, les nouvelles vont vites !
Pour l’instant, je ne sais pas encore quelle forme aura mon prochain projet. Ce qui m’importe c’est de travailler le plus de morceau cohérent possible et de me poser toutes ces questions par la suite.
Tout ce que je peux vous dire, c’est que je sens que je m’affirme de plus en plus et que j’ai déjà hate de revenir avec ces nouveaux morceaux…
Le mot de la fin ?
Snoricam ! C’est le nom de la machine qu’on a construit pour le clip et j’espère qu’il vous plaira autant qu’on a pris du plaisir à le faire.
