« Celui qui attend que tout danger soit écarté pour mettre les voiles
ne prendre jamais la mer » Thomas Fuller
PRÉSENTATION
« FCMP. » pour Fécamp, c’est avant tout une déclaration d’amour à cette petite ville de Normandie, entre terre et mer, débordante de charme et d’énergies créatives.
Si on adore FCMP. c’est pour son âme d’été, ses couleurs pop et son graphisme très actuel. On aime la qualité des produits et l’amour dans lequel ils ont été pensé. Alors on a été à la rencontre de son créateur :
Raphaël Zurita. (c’est le ptit mec sur la couv)
Hello, est ce que tu peux te présenter en quelques mots ?
En quelques mots, je suis un Normand de cœur, à la vie à la mort, qui comme le dirait nos anciens est « monté sur Paris » pour y trouver études et travail. Après plusieurs années dans la communication et le marketing à conseiller des marques, je me suis dis « Danny, c’est à ton tour de te lancer ! ». J’avais depuis quelques années l’envie de créer un projet qui me ressemble, un projet qui m’anime et c’est là que j’ai eu l’idée de Fcmp..
Quand et comment as-tu eu l’idée de faire de ta ville d’enfance, une marque ?
L’idée est apparue au détour d’un apéro avec des potes sur cette plage coincée entre deux falaises, où le soleil venait se coucher. On s’est dit « ouahhh c’est quand même un spot de rêve, c’est dingue que personne ne l’illustre ». De fil en aiguille, l’idée a muri… jusqu’au jour où je me suis lancé. J’ai illustré la plage, un quartier, j’ai ensuite travaillé un logo, pensé une marque, une collection de vêtements, jusqu’au jour où j’étais prêt. Je n’avais pas pour objectif d’en faire une vraie marque, je voulais simplement qu’avec notre bande de potes nous ayons tous ce petit signe distinctif qui représente nos racines. Mais très vite les visuels ont tourné dans Fécamp et un engouement s’est créé. Je recevais des messages pour savoir quand est-ce que les vêtements seront dispos, quand est-ce que le site sera en ligne… C’est là que j’ai compris que je n’étais pas le seul à aimer ma ville au point de vouloir la porter.
Comment est ce que tu décrirais FCMP. ?
Fcmp. c’est avant tout un emblème d’un style de vie au bord de la mer. Dis comme comme ça fait vite petit Deauvillois qui va lancer sa petite marque de marinière. Mais non, on va pas se mentir, Fécamp c’est pas Biarritz. Pas de sable chaud à l’horizon mais des galets sur lesquels tu trébuches, pas de 33 degrés mais un jour de pluie tous les 3 ou 4 jours à minima, pas de bars de plage où siroter son petit mojito mais des aprems à squatter un bout de plage qui à la fin de l’été est presque ta deuxième maison… C’est aussi et surtout ça Fcmp., une marque qui montre et raconte les plus beaux aspects de cette ville mais aussi sa réalité de ville perdue dans une Normandie tant méconnue que surprenante.
Si tu devais choisir ta pièce préférée de la collection ?
Mamamia, *il prend l’air surpris, il fait mine de réfléchir, mais que vois-je, il se prend pour une de ces personnes qui font mine de chercher dans une interview Fast&Curious de Konbini*.
Alors pour faire un choix, je dirais que c’est la dernière pièce « Vierge Coast » réalisée par mon pote Jean-Eudes Queinnec, une petite pépite créative. C’est une illustration, que l’on propose sur des tees et des pulls, qui représente la vierge Marie. L’objectif n’est pas de se faire pardonner quelques péchés inavoués mais de symboliser notre mythique falaise fécampoise : la côte de la vierge. Pour la petite histoire, c’est le point culminant de la côte d’albâtre. J-E (c’est son de scène) a illustré Marie en lui donnant un look davantage Fcmp., un look streetocatholique.
Un mot pour la fin ?
À quand la collab Talent Magazine x Fcmp. ?
L’ESPACE DE TRAVAIL

« Je n’ai jamais été très doué pour m’occuper des plantes. Du coup j’en ai pas. »
LA CARTE D’IDENTITÉ
Si tu étais…

Le lundi, et d’âme généreuse
je resterai au lit pour offrir à chacun un week-end de 3 jours

Une mouette,
leur dédain me fascine

Une bouteille de Bénédictine,
une merveille ; je recommande !

Malcolm McDowell pour goûter le Moloko Plus d’Orange Mécanique

Anna Karénine de Léon Tolstoï

Une pomme, pour offrir mon corps
à ce breuvage divin qu’est le cidre
LES FRINGUES