« There is a crack in everything, that’s how the light gets in. »

Leonard Cohen

Hello, et bienvenue sur le magazine ! Pourrais-tu te présenter ? 

Hey ! Je suis l’artiste Coco Bans, américaine de naissance mais française d’adoption, chercheuse en émotions, écrivaine des connexions humaines.

 

Pourrais-tu nous parler de ton nouveau clip « being brave is stupid » ? Que t’as apporté ta collaboration avec Von Pourquery ?

Le clip a été conçu et réalisé par l’illustrateur Simon Landrein que j’admire depuis longtemps. J’ai laissé la place à la grande imagination de Simon, il avait carte blanche. J’adore son univers doux mais dérangeant – un peu comme le titre d’ailleurs – et je voulais qu’il interprète à sa façon cette histoire d’amour malaisante. 

Avec le réalisateur de “Being Brave Is Stupid”, Jo Pereira, on avait cette idée d’ajouter du Baudelaire, son poème Le Balcon des Fleurs du Mal. J’ai rencontré Von Pourquery pil à ce moment-là. Il a parlé et j’ai su directement que ça devait être lui. Quelle voix, quelle sensibilité, quel homme. Thomas de Pourquery est un trésor national à mes yeux et je me sens chanceuse d’avoir créé cette chanson ensemble.

 

Comment caractériserais-tu ton univers ? 

Un câlin dans l’ombre.

 

Qu’est ce qui te tiens le plus à coeur ? 

L’authenticité. Je cherche à me connaître, à comprendre le monde qui m’entoure, et à partager simplement ces expériences avec les autres, dans l’espoir que ça aide quelqu’un qui se pose les mêmes questions.

 

As-tu de futur projets dont tu voudrais nous parler ?

L’EP aka Major Heartbreak: The Beginning vient de sortir en introduction à l’album aka Major Heartbreak qui arrive en mai prochain. Il y a de nouveaux clips en cours avec Iris Dracos, qui a fait la série photos de l’album et le clip de “What Did You Say”, et NLCTL qui a fait le clip de “Luxembourg”. Avec le band, on sera en concert à la Gaîté Lyrique en mars pour la finale du Prix Société Pernod Ricard France Live Music (18 et 19 mars). Puis j’espère retrouver tout le monde sur scène bientôt, on garde l’espoir !