On vous présente aujourd’hui le très bon « Die, Motherfucker ! Die !!! » de Apple Jelly. Un voix forte et profonde, des synthés a couper le souffle et le tout accompagné d’un clip très propre et efficace. On écoute :
Hello Apple Jelly ! Un petit tour de table ?
(SLip) SLip (et oui, comme le slip), je m’occupe de la partie graphique entre autres
(Axel) Salut moi c’est Axel et je fais les claviers dans le groupe. On m’appelle la tarentule aux mille touches
(BEnn.) auteur/compositeur et chanteur du groupe.
(Théo) moi c’est Théo, également nommé le boa, ou jeune fougueux. J’ai une moustache, c’est important. Je suis à la basse et au synthé dans Apple Jelly. Si il y a besoin de taper sur une cloche ou n’importe quoi je suis toujours partant. Toujours partant pour la fougue.
On présente aujourd’hui votre titre « Die Motherfucker ! Die !!! », que pouvez-vous nous dire à son sujet ?
(Théo) Concernant Die, c’est un titre important du dernier album (qui sort très prochainement) Personnellement j’adore le jouer, il est très direct, énergique, une bonne claquouille comme Apple Jelly peut avoir déjà présenté. Je suis très content du clip réalisé par Glokhom, que je remercie ! Il a été tourné sur Lyon et ses alentours, j’ai d’ailleurs servi de figurant pour une scène. Je bois une bière dans le fond, classique. Une scène assez facile à jouer pour moi.
(BEnn.) le titre parle de cette violence que nous subissons tous au quotidien, sans pour autant s’en apercevoir. Cette violence représentée par cette basse qui martèle la chanson comme un boxer vous foutrez sur la gueule. Au bout de 7 minutes, on en sort groggy, épuisé, incapable de réfléchir. Un peu comme la vie dans notre monde, quoi ! ; )
Ce titre est accompagné d’un clip, quand et comment a-t-il été tourné ?
(BEnn. ) le clip fut tourné en plusieurs fois. Cela a commencé en novembre 2019, jusqu’à mars cette année. Mais le plus dur a été de trouver la bonne équipe pour réaliser ce que nous voulions. J’avais un embryon d’idée au départ que j’ai soumis à plusieurs réalisateurs. Personne n’a dit non, mais celui qui qui nous a proposé le meilleur développement fut José Daniel Zuluaga, le réalisateur. Il nous a été présenté par Glockhome, une boite de production qui nous a beaucoup aidé à mettre en forme le projet puisqu’Ils se sont occupés de tout, de la logistique, au tournage, en passant bien sûr par la production, le casting etc.
L’album sort dans un mois environ, excités ?
(SLip) A fond depuis un moment, en préparant tout pour que le titre et l’album aille le plus haut possible. Ca commence bien avec la sélection du clip au BMVA, un des plus gros festivals de clips européens
(Fat Kick Jo) Très excité à l’idée de cet album qui est arrivé à maturité comme le bon vin pendant ce temps de gestation. Une très grosse envie de le défendre sur scène et faire transpirer ces morceaux qui sont plus que jamais d’actualité!
(Axel) Très très excité, on prépare ça depuis un moment et le plan promo est béton. Bien hâte jouer ces morceaux sur scène car c’est là qu’ils ont le plus d’impact selon moi
(Théo) Pour la sortie de l’album, oui très excité et j’ai hâte d’avoir des retours du public de la presse ! J’adore l’esthétique développé par Slip sur la pochette.
(BEnn.) oui, je me sens comme un futur papa : à la fois excité et angoissé à l’idée de montrer au monde le rejeton ; ). Pour les parents, c’est toujours le plus beau bébé du monde, mais pour les autres pas forcément ; )
Un mot pour la fin ?
(BEnn.) Nous avons hâte de faire écouter ce disque au plus grand nombre, et bien entendu, nous n’attendons que la réouverture des salles de concerts pour le défendre devant notre public. Les concerts virtuels, c’est cool, mais la sueur, l’odeur du vestiaire comme je dis, et la furie que l’on ne trouve que dans les concerts me manquent terriblement .